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Laurent Hassid dans Libération

Par Nelly Didelot - le 1er juillet 2021

Depuis trente ans, un seul homme est capable de faire sortir les Slovènes par dizaines de milliers dans les rues, pour le soutenir comme pour le conspuer. Premier ministre pour la troisième fois, Janez Jansa déchaîne plus que jamais les esprits, en Slovénie comme à Bruxelles. Depuis son retour au pouvoir, en mars 2020, il a cédé à la tentation autoritaire, tendance orbanienne.

Les médias sont sous pression, l’agence de presse nationale a perdu ses financements publics, les têtes des institutions culturelles ont toutes été changées et, dernièrement, le gouvernement a bloqué la nomination des candidats prévus pour le parquet européen anticorruption. De mauvais augure, alors que l’éternel homme fort de Ljubljana prendra jeudi la tête de la présidence tournante de l’Union européenne.

 

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